Ce matin, je me suis levé de bonne humeur. J’avais bien préparé ma présentation pour les cours, et je me sentais d’attaque pour cette journée. Jusqu’à ce que j’allume mon ordinateur et que je voie les nouvelles…
Des hommes, des femmes et des enfants malmenés par la police. Le bourgmestre de cette commune a décidé de les déloger par la force de l’endroit où ils vivaient, alors qu’ils avaient le consentement du propriétaire des lieux pour y « vivre ». Je vois des images insoutenables montrant la brutalité dont ces occupants et leur sympathisant subissent de la part des forces de l’ordre. La colère est montée subitement ce matin, et je n’arrive pas à la faire partir. Ce sont des êtres humains, qui n’avaient que ce seul endroit pour vivre.
Je ne comprends pas. Et je ne peux pas comprendre comment des agents des forces de l’ordre, s’ils ont un semblant d’humanité puissent utiliser la force contre leur semblables, alors qu’ils ne sont juste que là pour avoir un toit. Je ne comprends pas comment si peu de gens s’en indigne, préférant faire comme si de rien n’était. Dites-moi, qu’est ce que vous feriez si c’était vous avec vos enfants qui étaient à leur place?
Je ne comprends pas non plus comment, des personnes se disant proches du peuple par leur parti, qui comporte pourtant le mot social, puisse encore foutre à la rue près de 200 personnes en les faisant embarquer, femmes et enfants, menottes aux poignets.
Et si c’est pour un problème de santé publique, ou de tout autre sujet dégradant dont la presse n’en parle seulement que depuis ce matin, afin d’amadouer l’opinion publique, pourquoi ne pas avoir envoyé des travailleurs sociaux pour aider justement cette population?
Comment peut-on encore commettre de tels actes de barbarie dans nos contrées? On ne retient donc pas les leçons de l’histoire? Excusez-moi du manque de politesse dans les prochains propos, mais ce genre d’actions me fait vraiment gerber. Aujourd’hui, j’ai vraiment honte d’être belge.
Retour PingLa Belgique (et l’Europe) se transformerait-elle en un état policier?
1. Il n y a pas eu la moindre violence par rapport aux réfugiés . 2. Il n y a eu aucun enfants menotte. 3. Des travailleurs sociaux ont abandonné le travail qu ils faisaient la par manque de sécurité . 4. Si nous force de l ordre avons de la l humanité mais il ne faut pas oublie que l exceptionnel du citoyen et la routine du policier, des horreurs ont en voie chaque jour. 5. Je peux assurer qu il sont mieux ou ils sont que dans la crasse ou ils étaient. Vous écrivez un article sans y avoir été , avec des on dit, des témoignages d une personne qui aurait vu des menottes à un enfant……. Moi j y étais et on a fait un boulot très social qui j en suis sur leur profitera a l avenir